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25/03/2010

on s'aère ?

17H10  , je me tâte .

Je sors de deux rendez-vous et l'envie de rentrer chez moi est forte .   L'appel de la forêt aussi .   Qu'est ce que je fais ?   Est ce que je vais encore  faire ma promenade au Rouge-Cloître ?  Allez oui, j'y vais, j'ai mon appareil-photo avec moi , la température est douce , les jours se rallongent de plus en plus  et ce n'est que du bonheur d'aller me promener dans mon coin favori .
C'est parti  !    Allons voir ce que la nature nous réserve aujourd'hui , tiens .    Y a toujours quelque chose à voir du côté du Rouge-Cloître et de la forêt de Soignes  , même les gens que je croise sont sympathiques , amusants souvent .   Il y a beaucoup d'originaux qui se baladent par là en semaine .
Est ce que vous savez que c'était le coin favori des peintres où je me rends ?
Et je roule direction abbaye du Rouge-Cloître . Il n'y a pas trop de circulation , j'y suis vite .    Je sais , je ne suis pas très originale quant au lieu de destination .   Je sais aussi que je vous ai déjà présenté le coin .   Je sais aussi que vous savez maintenant que c'est un de mes lieux priviligiés pour la promenade
.
Donc , normal que c'est  par là-bas que je vous invite à nouveau à me suivre , si vous le voulez .
Quelle  chance j'ai eu !    Vous verrez !   Vous vous souvenez de  mon idée de photographier un écureuil ?  Je me disais qui sait si j'en croise .   Je croise tout d'abord une dame qui mitraillait avec un téléobjectif grand comme ça .  Elle prenait des  Bernache en photos .    J'étais impressionnée par son appareil à la dame .   Je me sentais un peu rikiki à côté avec mon appareil .
Quelques instants après ,  un homme nous rejoint , venant de la forêt , appareil-photo en bandouillière .
Là,  je me suis dis , je ferais peut-être mieux d'arrêter de parler du coin avec toutes ces personnes qui photographient ici .   Et puis peut-être que je vais finir par être repérée parce que j'en parle sur mon blog ?  Des gens peuvent savoir que c'est moi , Julie et puis moi , je ne sais même pas qu'ils me (re)connaissent  ( mieux que je les (re)connais )   ...   C'est rigolo cette idée .   Et ce n'est pas bien grave .
Allez , on part en promenade ?
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c'est parti , on longe l'étang .   Qu'est ce qu'on voit : une famille riche en couleurs
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même une Bernache fait sa promenade !
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elle me regarde d'un oeil vigilant .    Danger pas danger , se dit-elle , je suppose
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Mais qu'est ce que je vois au loin sur le tronc ?   Vous voyez , vous ?
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oui, c'était bien une tortue .  Tiens y a même des tortues alors ?
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Oh, chouette un cormoran .  Je n'en avais pas encore vu .  Allez , clic ...dans la boîte !
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Un autre !  La tête n'est pas pareille au précédent .   Va falloir que je me renseigne ;  C'est peut-être le mâle et la femelle ?
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Et là, je rentre dans la forêt - on voit l'abbaye tout derrière
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Et dans la forêt , qu'est ce que je vois ?   Mon coeur se met à battre plus fort ....mon écureuil , je l'ai !
Vous avez vu , il est petit , hein - c'est ce qu'on appelle l'écureuil de Corée .
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Mince, je suis gâtée , j'arrive à le suivre , je reste figée pour ne pas qu'il s'effraie
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Ca y est ma patience est récompensée .  Il prend la pose !
Je suis heureuse, sachez le .
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oh, même un petit rouge-gorge qui s'offre à moi .
J'ai vraiment eu de la chance , j'ai vu tout cela sur ma promenade , vous vous rendez compte  .
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Allez , on rentre .
J'ai bien fait de venir ....comme à chaque fois !

23/03/2010

Il y a toujours de l'espoir .

Au hasard d'un clic , je me suis retrouvée sur le blog parolesdesoie.unblog.fr de Martine Bernier .  Je ne connais pas Martine Bernier , mais je connais le docteur Daniel Dufour pour avoir participé  à un de ses  stages  0GE , il y a maintenant 4 ans .  Cela a été une révélation pour moi .    Son approche m'a séduite et j'ai pu vérifier par après , tant et tant de fois,  que l'expression de mes émotions était essentielle  au maintien de mon équilibre sur le plan de ma santé , tant psychique que physique .   Je suis donc  convaincue par ce que j'ai lu dans les livres du  docteur Daniel Dufour pour l'avoir expérimenté sur moi  et m'être sortie d'une maladie sérieuse .    J'ai lu ses quatre livres et  son dernier livre " Rebondir" que j'ai lu il y a quelques jours  m'interpelle particulièrement .

Alors j'aimerais beaucoup partager avec vous ce que je viens de lire à ce sujet .  Je reproduis à cet effet toute l'interview que j'ai pris en "copier/coller " sur le blog de Martine Bernier qui a personnellement  interviewé le Dr. Dufour , le 12 mars dernier, d'après ce que j'ai lu .

Vous lisez si vous voulez , mais c'est trop précieux pour moi que pour le passer sous silence .  C'est une partie de moi en quelque sorte . De ce que je "crois"  aujourd'hui , disons .    Je suis convaincue que l'expression des émotions est capitale dans le maintien d'une bonne santé physique comme psychique et qu'une émotion mal vécue peut être la cause d'un mal-être .  Je l'expérimente chaque jour.  Je l'expérimente aussi  au travers de ce que j'arrive à exprimer  sur ce blog également .

Et c'est dans le but d'exprimer par écrit ce que je vivais "intérieurement"  que j'ai un jour "osé " faire le plongeon dans la blogosphère et que j'ai ouvert  ce blog "thérapeutique" . ( thérapeutique pour moi , je veux dire , n'est ce pas, il n'a pas d'autres prétentions ce blog  )    C'est un pléonasme , non ?  Blog et thérapeutique .  J'en suis sûre .

 

Alors voilà . Bonne lecture , si ça vous intéresse, bien entendu .   Et merci à vous qui venez me lire si fidèlement !  Ca me touche , sachez le et cela m'a bien aidée également de vous lire .

“Rebondir” du docteur Daniel Dufour: une autre vision de la santé

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Lire et présenter des livres de toutes sortes est une facette de mon travail.
Des dizaines d'entre eux me passent entre les mains chaque mois.
Avec parmi eux, quelquefois, un ouvrage marquant.
C'est le cas de celui du docteur suisse Daniel Dufour: “Rebondir. Une approche créative pour surmonter les obstacles”.
Ce livre concerne et intéresse chacun d'entre nous, parce qu'il nous parle de nous, de notre santé, de nos émotions.
Il diffuse un message particulier: nous possédons tous les clés pour nous maintenir en bonne santé et pour nous relever après avoir vécu une grande crise.
Ce médecin totalement hors normes, qui a longtemps été chirurgien de guerre, nous propose dans ce passionnant ouvrage d'utiliser les outils essentiels à notre santé. Des outils qui passent par le respect de nos émotions, le savoir inné et la pensée créatrice.
Interview.

Vous avez un parcours un peu atypique…
Il est un peu bizarre, oui. Dès l'âge de 7 ans, j'ai su que je voulais être médecin, et je n'ai jamais dévié de cette idée, même s'il n'y avait jamais eu aucun docteur dans ma famille auparavant. J'ai suivi mes études à Genève. Elles m'ont déçu, car je n'aime pas beaucoup la théorie. Mais dès que je me suis retrouvé devant des patients, j'ai compris que c'était bien ce que je souhaitais faire.
Un jour, je suis parti  en Rhodésie, qui s'appelle aujourd'hui de Zimbabwe, pour rendre visite à un ami. Là, j'ai rencontré la guerre. J'étais chirurgien orthopédique, j'ai décidé de rester. J'ai travaillé un an là-bas. Puis je suis rentré au CICR (Comité International de la Croix-Rouge), toujours comme chirurgien de guerre. J'ai vécu dans l'urgence pendant plusieurs années, au Liban, au Pakistan, dans tous ces pays en conflit. J'ai ensuite été coordinateur médical, toujours pour le CICR. Je passais du champ opératoire à un champ d'action plus large! J'ai fait des études de médecine tropicale à Londres, puis je suis rentré en Suisse et j'ai fait ce que je pensais ne jamais faire un jour: m'installer comme médecin généraliste, en 1987.

- Face à des patients présentant des problèmes d'Occidentaux protégés des situations de guerre, n'avez-vous ressenti aucune exaspération?
Non… Cette question m'a un jour été posée par une amie alors que je rentrais du Cambodge, travaillant pour l'Ordre de Malte qui lutte contre la lèpre. Je m'étais occupé de lépreux qui vivaient au fond de la jungle cambodgienne. Heureusement, je n'ai jamais fait ce lien, cette comparaison. La souffrance appartient à chaque personne. La misère est parfois beaucoup plus grande ici, avec des personnes qui meurent seules pendant la canicule sans que personne ne le remarque. Là-bas, les lépreux souffrent et sont retirés de la communauté. Mais leurs familles leur rendent visite, leur apportent à manger.

- Vous expliquez dans votre livre que chaque maladie est liée aux événements que nous vivons.
Oui, tout provient d'une émotion mal vécue, ou du fait que nous ne sommes pas dans le moment présent. Cela provoque différentes symptômes, un déficit d'immunité. Lorsque l'on vit dans le présent, on élimine les tensions. Ne restent que celles liées à l'éducation. Nous savons que si nous sommes tristes, il faut pleurer pour évacuer cette peine. Mais l'éducation nous empêche souvent de nous autoriser à exprimer la colère, la tristesse, la joie…

- Vous estimez que nous avons tous en nous les outils pour revenir à la santé. Une personne en pleine dépression a-t-elle elle aussi cette force en elle?

Oui, mais elle va avoir le sentiment d'être culpabilisée parce que je leur dis qu'elles ont en main les clés pour se soigner. On me le reproche souvent. Je dis aux gens: “vous êtes responsables de votre mal-être, mais aussi de votre bien-être. Je n'ai pas le pouvoir de guérir, mais vous l'avez.”
Nous devons utiliser nos outils. Le passé et le futur existent. Et, si l'on est très intelligent, on utilisera le passé pour mieux construire le futur. Mais la clé de tout est de vivre dans le présent, en exprimant ses émotions.

- Vous n'infantilisez pas vos patients, au contraire, vous les responsabilisez, apportant une vision très personnelle de la pratique de la médecine. Comment êtes-vous perçu par vos collèges?
Je pense qu'ils ont pour moi une douce indifférence ou un doux mépris! Je n'en suis pas dérangé: je ne cherche pas à convaincre. La médecine traverse actuellement une grande crise car de plus en plus de gens n'y croient plus. On maintient les médecins dans une notion de pouvoir absolu. De nombreux thérapeutes font d'ailleurs la même chose: ils ont le pouvoir face à leurs patients qui sont des lilliputiens en face d'eux. Je ne suis pas d'accord avec cette façon de pratiquer la médecine. Pour moi, il s'agit d'accompagner les patients. Tout ce que j'ai appris, ce sont eux qui me l'ont enseigné. Ce terme d'accompagnement est essentiel pour moi.
Les gens sont prévenus de ce qui les attend quand ils viennent me voir. A mes yeux, il est très important d'avoir une approche globale de la personne. L'être humain n'est pas un estomac, un bras ou un coeur. C'est tout un ensemble, une multitude de composante. Je connais bien la médecine “mécanique”, que j'ai pratiquée dans l'urgence, et que je pratique toujours lorsqu'il le faut. Mais je sais aujourd'hui qu'il y a toujours une raison à une maladie ou à un accident.

- Vous allez plus loin… vous dites que, selon vous, on peut guérir chaque maladie, y compris le cancer.
Oui. Je me souviens de l'une de mes patientes qui avait un cancer de la peau. Elle se guérissait de ce cancer, et, un jour, a décidé qu'elle en avait assez et qu'elle voulait s'arrêter. Il faut aussi respecter la personne lorsqu'elle prend cette décision. L'important est d'accompagner la personne pour qu'elle vive ou meurt en paix.
Lorsque les gens viennent me voir et me disent “j'ai un cancer” ou “j'ai des sinusites à répétition”, je leur demande: “Pourquoi avez-vous cela?”.
Souvent, ils me répondent. Une personne qui a un cancer évoquera tel ou tel événement qu'elle a traversé. Un événement porteur d'émotion qui n'a pas pu être vécu correctement.

- Vous pensez réellement que quelqu'un de déjà très atteint peut guérir grâce à la pensée créatrice, en s'ancrant dans le présent, en exprimant ses émotions?
Oui, je le crois. On peut toujours revenir en arrière. Je sais qu'il y a des sceptiques qui me diront que je vends de l'espoir alors qu'il n'y en a plus. Cette phrase à elle seule est terrible. Il y a toujours de l'espoir.

- Vous estimez que l'aptitude à rebondir dans la vie est une démarche très différente de la résilience. Pourquoi?
La résilience est l'adaptation de certaines personnes à leur milieu. Tout le monde n'en fait pas preuve. C'est une façon de réagir par rapport à la société, elle fait appel aux faculté d'adaptation et à ce que la société peut offrir.
L'aptitude à rebondir est le phénomène inverse. Chaque personne peut y arriver, et c'est en elle qu'elle va trouver les moyens de le faire.

Propos recueillis par Martine Bernier

- “Rebondir! Une approche créative pour surmonter les obstacles”, Docteur Daniel Dufour Les Editions de l'Homme
- Le docteur Dufour donnera une conférence au MEDNAT, à Lausanne, le samedi 27 mars 2010 à 13h30
- Site Internet:http://www.oge.biz/fr/index.php

 

22/03/2010

Seule

Oh là là qu'est ce qui m'arrive ?  Je me pose un tas de questions depuis que je suis rentrée à la maison , seule .   Comme si mon voyage et le bien-être éprouvé durant mon séjour , faisait ressortir plus intensément , un mal-être que je ne me révélais pas .

Je vais un peu mieux qu'hier , parce que je ne pleure plus , mais je me rends compte que j'ai un poids sur le coeur .

Un poids que je n'ai pas voulu voir et que je traîne depuis que je suis ....née , je pense .   Je me sens "seule" .  Je me suis souvent sentie seule , mais là il me semble que ce sentiment s'exacerbe au fur et à mesure que le temps passe .   Quand j'étais petite , j'étais seule parce que je suis fille unique et que je me sentais partout seule, alors que tous mes cousins/cousines étaient nombreux ....j'étais la "seule" ( tiens encore une fois ) à être fille unique .   Quelle horreur pour moi  , d'être seule .  Seule avec mes parents qui étaient tellement peu aimants et si sévères .  J'aurais bien voulu qu'on m'adopte quelque part chez une de mes tantes pour pouvoir avoir une grande famille , où on n'est jamais seul parce qu'on a des frères et des soeurs .  Oui, j'aurais bien aimé quitter mes parents et aller vivre chez mes tantes .  Je le fais encore souvent maintenant en allant les visiter , ainsi que mes  cousins et cousines .

Quand j'ai été à l'internat , c'était la fête pour moi , j'étais entourée d'autres enfants et je ne dormais jamais seule dans ce grand dortoir .  Oui, j'ai aimé .  Mon amie a détesté .  Elle en parle comme d'un cauchemar et moi j'en parle comme d'une fête .  Et nous étions au même internat .   Comme quoi  , personne n'est fait pareil et n'a les mêmes raisons d'être triste ou désemparé .

Moi, je suis triste quand je dois me séparer de quelqu'un avec qui  je me suis sentie bien , avec qui  j'ai vécu de beaux moments de complicité  et puis que je dois rentrer "seule " chez moi .   C'est difficile alors, un sentiment de tristesse s'empare de moi .    Et la séparation de ce qui était si bon  attise ce sentiment de solitude alors .

La solitude ne me convient  pas , mais être entourée de gens qui veulent me diriger et se positionner en "bon parent" ne me convient pas du tout , non plus .   J'aimerais être en compagnie de quelqu'un qui me considère comme son égale, tout simplement  et ça je ne trouve jamais .

Il doit y avoir quelque chose que je fais "faux" ?   Un schéma relationnel que je répète inconsciemment !   C'est une certitude .

J'ai eu un mari qui était plus jeune que moi ...il aimait être guidé et j'étais devenue comme sa mère pour lui .  Je me sentais "seule" avec une responsabilité de parents .   J'ai un compagnon qui est mon aîné de 20 ans .   Encore une fois , je me sens  seule  à mon "étage générationnel " .   Je dois chercher le père aimant que je n'ai jamais eu ?    Il y avait, sans mauvaise intention , un  conflit de génération et à chaque fois il voulait  me "guider" ou tout faire à ma place .  Mais alors comment je vais apprendre ?

Bref, je tourne en rond ....avec ce sentiment de solitude , d'abandon ...., encore et toujours .

Je me sens déjà moins seule, d'oser en parler ...   Oui, d'oser dire que je voudrais qu'on m'adopte une fois pour toute , que je compte "avec" dans une famille  , que j'ai ma place quelque part , que je ne dérange pas .

Je sens que de franchir le pas et d'oser en parler, sans avoir honte d'éprouver ces sentiments qui parfois sont contraires,  me fait du bien .  Je ne veux  plus me montrer plus forte que je ne le suis réellement  .  Je ne veux surtout plus me leurrer encore  en me racontant des histoires ou en niant l'évidence .

Juste reconnaître ce qui est .  Juste reconnaître les émotions qui s'emparent de moi en ce moment . 

Tiens, il me vient à l'esprit une chanson que ma maman chantait toujours " Je suis seule ce soir avec mes rêves , j'ai perdu l'espoir de ton retour" .   Je ne me souviens que de ces paroles là  .  Elle parlait déjà d'être seule .  Oh, maman ...qu'est ce que tu as pu m'énerver de ton vivant  et qu'est ce que je me rends compte maintenant que pourtant je te ressemble .

Et moi aussi , je suis seule , maman ....comme toi.    Et je pense que ta maman s'est sentie seule aussi ....   Ca fait des générations de solitude , ça ?

Mon livre de chevet est "cent ans de solitude" de Gabriel Garcia Marquez .  Il traîne près de mon lit , depuis de longs mois , j'ai le regard dessus presque chaque soir et j'arrive pas à mon plonger dedans ..

Le titre de ce livre en dit long pourtant ...  sur moi , sur ma famille , sur le sentiment de solitude que je vis  ... peut-être ?

Faut il que je le lise ?

 

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